19.06
2017 Bons plans et conseils

Rouler plus longtemps, plus loin, sans se fatiguer : telle est la promesse du VAE (vélo à assistance électrique). Mais si l’offre séduit, le coût d’achat fait aussi réfléchir. Pour vous guider dans votre choix, trois conseils pratiques et malins.

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Le marché du vélo à assistance électrique explose ; il suffit de regarder dans le commerce, toutes les enseignes de sport et marques de cycles proposent désormais leur version motorisée. Comment choisir ? Sur quels critères se baser ? Julien Rebuffet, directeur Moniteur Cycliste Français (MCF) nous apporte quelques éléments de réponse.
 
  •  Choisir un moteur à technologie centrale
Sans se lancer dans des précisions hautement techniques, une technologie à moteur central est à privilégier, « surtout s’il s’agit d’un vélo pour rouler en montagne, où le moteur est davantage sollicité par les changements de rythmes et de vitesses ». Le moteur se situe au niveau du pédalier et fonctionne en tirant sur la chaine grâce à une roue dentée positionnée juste devant le pédalier. La vitesse est ainsi modérée et gérée en passant les rapports et permet une plus grande résistance du moteur sur les terrains variables (pas de surchauffe). De plus, le moteur positionné au centre, garantit un équilibre de poids du vélo et donc un gain de stabilité.
 
  • Privilégier un fabriquant connu et possédant un service après-vente en France
Beaucoup de marques de cycles voient le VAE comme un marché porteur et proposent désormais leur déclinaison à assistance. Pour s’assurer de la qualité du moteur, pièce centrale d’un VAE, MCF recommande de choisir un fabriquant connu et possédant un historique qualité notable.  « Bosch, Shimano ou encore Brose sont des valeurs sûres. » Leur avantage au-delà de leur notoriété ? « Ces marques possèdent toutes un service après-vente en France. Un critère important pour les pannes et petits pépins techniques qui peuvent survenir. »
 
  •  Réfléchir à l’usage 
Pourquoi un vélo à assistance électrique ? Pour des déplacements quotidiens, maison-travail ? Pour la ville et le loisir ? Pour des terrains très escarpés, voire montagneux ? Autant de questions qu’il est nécessaire d’étudier avant d’acheter. « Nous conseillons de choisir un VTTAE pour la polyvalence qu'il représente. Chemins roulants ou de montagnes, petites routes goudronnés, ça passe partout. Pour un usage plus urbain et des parcours en itinérance, le VTC à assistance électrique est l’allié le plus adapté ».
 
 
Crédit photo : F-Corsi / MCF

Informations utiles

Depuis février 2017 et jusqu’au 31 janvier 2018, l’État accorde une aide pour l’acquisition d’un vélo électrique neuf n’utilisant pas de batterie au plomb. Le montant de l’aide est fixé à 20 % du coût d’acquisition, hors options, toutes taxes comprises, sans être supérieur à 200 euros.

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Depuis février 2017 et jusqu’au 31 janvier 2018, l’État accorde une aide pour l’acquisition d’un vélo électrique neuf n’utilisant pas de batterie au plomb. Le montant de l’aide est fixé à 20 % du coût d’acquisition, hors options, toutes taxes comprises, sans être supérieur à 200 euros.

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